Jeanny Thivierge-Lampron
Maîtrise
Réponses de la croissance intra-annuelle des arbres à la variabilité environnementale
Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Directeur: Fabio Gennaretti
Codirecteur: Miguel Montoro Girona, Christoforos Pappas
Formation
2021 à aujourd'hui - Maîtrise en écologie
Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
2014 à 2018 - Baccalauréat en aménagement et environnements forestiers – Profil international
Université Laval
Échange étudiant: Swedish University of Agricultural Sciences (SLU)
Projet de fin d'étude: Le mont Kaaïkop : une montagne qui nous renseigne sur l’acceptabilité sociale en foresterie.
Expériences de travail
2019 à 2022 - Ingénieure forestière
Ministère des forêts, de la faune et des parcs
2018 à 2019 - Coordonnatrice des inventaires et suivis
Reboitech
2015 et 2017 - Stagiaire en Foresterie urbaine
Ville de Québec
2016 - Stagiaire en aménagement forestier
Ministère des forêts, de la faune et des parcs
Projet de Maîtrise
Mes intérêts de recherche touchent l’impact des changements climatiques sur la résilience et la productivité de la forêt boréale. Dans un objectif d’aménagement durable des forêts, la compréhension des impacts de ces changements sur les écosystèmes forestiers est nécessaire si l’on souhaite adapter leur gestion et ainsi minimiser les effets négatifs anticipés. Dans le cadre de mon projet de maîtrise, j’étudie à la réponse des arbres à différentes variables environnementales. Je m’intéresse à l’effet de variables météorologiques et de différents dépôts superficiels de sols (argile et sable) sur la croissance et les relations hydriques des arbres. L’une des particularités de ce projet est l’utilisation d’un suivi à haute résolution temporelle qui permet d’obtenir des informations sur la croissance et le déficit hydrique à l’intérieur d’une saison de croissance.
Nos résultats contribueront à mieux comprendre l’impact des conditions de site et des perturbations de courte durée sur la croissance et l’utilisation de l’eau des arbres. Ces résultats contribueront à améliorer les prédictions sur la productivité des forêts boréales dans un contexte de changements climatiques.